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lundi 16 avril 2018

MONTOIRE A CHAILLOT

 
 
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J'ai donc écouté le Président de la République, ne serait-ce que par impératif de métier.

 Je passe sur le fait qu'il fut, le plus souvent, excellent - dans une catégorie idéologique qui, toutefois, n'est pas la mienne - face à deux journalistes s'avérant, ce soir-là, fort médiocres et, surtout, terriblement vulgaires, à commencer par ces détestables " Emmanuel Macron", assénés à celui qui, quoique on en ait, reste le Président de la République.
Je dois à la vérité de dire qu'à un moment de sa longue prise de parole, il m'apparut cohérent lorsque, face aux accusations de pouvoir personnel, voire de dictature feutrée - qui par ailleurs ne sont pas infondées - il répondit par la référence à notre constitution qui, depuis 1958, cherche d'abord et avant tout à maintenir une présidentialisation de la construction républicaine.
On peut aimer ou pas Macron, mais si on veut sortir de l'autorité régalienne, il faut sortir de 58.
Et très franchement, à l'heure des "facs bloquées" et des "zadistes", ce n'est pas le moment!
Je ne commenterai pas les sujets de politique intérieure: illibéral, gaulliste social, patriote et europhobe - je parle de l'UE, pas de l'Europe - je refuse le "macronisme".
Si je suis resté devant mon écran, c'est pour entendre - et me voir infirmer, ou confirmer - les positions du président sur la Syrie et sur l'islam, au demeurant les deux faces ( interne et externe) d'un même sujet.
Je fais partie de ceux qui considèrent cette question de l'islam, et de son danger mortel pour notre identité politique et culturelle, comme le sujet de société majeur ou, si vous préférez, et pour paraphraser une formule terrible, mais juste, de Marion Maréchal.Le Pen: que m'importe que ma petite fille, demain, paye sa burqa en euros ou en francs!

M.Macron eut, à cet égard, le mérite de la clarté!
La Syrie: des preuves?
Aucunes sauf cette éternelle tautologie: "j'ai des preuves".
Les preuves de M.Macron, c'est...qu'il y a des preuves.
C'est donc, définitivement, haro sur Bachar et vive "l'opposition syrienne", c'est-à-dire le djihadisme. Il est vrai que, dès les années Hollande, on nous avait prévenu:Al Nosra fait du "bon boulot". Heureusement que nous ne sommes pas déployés au sol, parce que, avec un peu de chance, des soldats français pourraient tomber sous des balles françaises!
C'est le problème de toutes les...collaborations!
L'islam en France: eh bien, justement, il faudra s'y faire.
Il faudra se faire à la pollution visuelle ( et militante) des voiles islamiques ( en espérant, vœu d'une insigne hypocrisie, que les femmes le "portent librement"!), à la déferlante migratoire africaine - le plus souvent musulmane, par son histoire et les progrès considérables de l'islam africain - et à la nécessité d'intégrer cet islam à "égalité" dans la laïcité.
C'est dire que M.macron place définitivement la Mecque à "égalité" avec 1500 ans de tradition chrétienne, indépendamment du fait que le culte musulman profite des milliards de dollars des monarchies du golfe quand nous sommes obligés de demander aux Américains de restaurer...Notre-Dame de Paris!!
Le mérite de M.Macron, aujourd'hui comme hier, c'est celui de la clarté.
Ce qu'il nous a annoncé hier n'est rien moins que la Collaboration confirmée entre le totalitarisme politico-religieux islamique et la France.
Montoire à Chaillot.
Enfin, quoique!
Si j'étais ignoble, ou simplement très cruel, j'ajouterais qu'au moins, lors de la dernière Occupation, les envahisseurs, pour la plupart, aimaient notre peinture ( au point de la faucher), notre littérature ( au point de s'attacher des lettrés qui le paieront cher), notre pinard et nos femmes ( certaines le paieront encore plus cher), alors que l'invasion actuelle vomit notre culture et nos mœurs, n'appréciant, chez les "négriers", les "kouffars" et les "jambon-beurre", que la CAF et la SMU...

 Aux résistants que nous sommes, Londres ayant déjà opté en grande partie pour la Charia, il nous reste, fort heureusement le choix entre Moscou, Varsovie, Budapest ou Bratislava.

 Ce sera désormais depuis l'Europe centrale et orientale que les "Français parleront aux Français".

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