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jeudi 21 avril 2016

Les réfugiés, des personnes tellement proches…




Le 21/04/2016

Ces hommes considèrent ces filles prépubères comme « leur petite amie »…

En ce moment, de nombreuses captures d’écran de pages Facebook et de comptes Instagram tournent sur les réseaux.
 L’on y voit des hommes qui semblent avoir entre 20 et 40 ans.
 Ils posent en photo avec des fillettes. Au vu des images, ces hommes considèrent ces filles prépubères comme « leur petite amie » et les décrivent comme « magnifiques », « trop belles », « trop mignonnes ».

Selon le média finlandais Mvlehti qui a mené l’enquête, ces hommes sont des migrants et les fillettes sont finlandaises et viennent de la ville de Saarijärvi.
 Après avoir réussi à les identifier, les reporters sont entrés en contact avec leurs familles afin de les prévenir.
 À leur surprise, ces dernières étaient au courant et ont répondu « que c’était tout à fait normal et qu’il n’y avait aucune allusion sexuelle dans ces clichés ».
Une mère ajoute : « Ils sont justes amis, il est tout à fait normal pour des gars de les appeler “bébé” et de dire qu’ils “les aiment”. »
 Dans une autre conversation, la mère d’une des fillettes déclare : « C’est tout à fait normal, pour des adultes, de traîner avec des filles de 13 ans, ils n’ont pas la même culture que nous. »
Un père tente d’être rassurant en déclarant que les fillettes sont encadrées par des adultes finlandais. On se demande alors où ils/elles sont, à moins qu’il s’agisse des personnes qui prennent les photos…

Toujours d’après Mvlehti, la mère d’une des filles travaille dans un « camp pour réfugiés ».
Sa fille a 10 ans et ses parents souhaitent lui apprendre la tolérance, l’ouverture d’esprit et l’acceptation des différences culturelles.
En bref, elle veut lui bourrer le crâne avec du multiculturalisme.


Cette maman a raison et j’espère qu’elle enrichira culturellement sa fille en lui parlant, par exemple, de la pratique du « taharrush gamea », qui est devenu tristement célèbre après le réveillon de Cologne.
Si elle a aussi un garçon, peut-être peut-elle aussi lui apprendre ce qu’est le « bacha bazi » qui, en dialecte afghan, veut dire « jouer avec les garçons », qui sont généralement des prépubères et sont vendus comme prostitués à des hommes riches ou puissants afin de les divertir avec des danses érotiques et autres activités sexuelles.
Cette entreprise prospère en Afghanistan et au Pakistan, mais commence aussi à l’être en Europe. Ainsi, comme le rapportait en janvier 2016 le Daily Mail, dix policiers suédois avaient été forcés de fuir pour préserver leur vie après avoir été attaqués par une foule de « demandeurs d’asile » alors qu’ils cherchaient à sortir un jeune garçon de 10 ans qui auraient été « violé de manière répétée » dans le centre pour réfugiés…

De toute manière, que les parents apprennent ces termes ou pas, cela n’a vraiment pas d’importance. En soutenant cette immigration folle, ces mères et pères ont fait en sorte que ces pratiques entrent dans notre vocabulaire quotidien, comme le sont devenus des mots comme « djihad », « allah akbar », « kuffar » ou encore « dhimmi » qui, il y a encore 10 ans, étaient vagues, voire inconnus pour beaucoup

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