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dimanche 31 janvier 2016

Intégration des réfugiés : et si l’on posait aux donneurs de leçons les bonnes questions ?

                                                    

Le 31/01/2016
Il n'y a pas à dire, le réveil sera brutal.
 
Ouvrir en grand les portes de l’Europe aux réfugiés et aux demandeurs d’asile, c’est ce qu’un rapport du HCN (Haut-Commissariat des Nations unies) et de l’OCDE (l’Organisation de coopération et de développement économique), paru jeudi dernier, préconise au moyen de dix propositions afin de « mieux intégrer » les Syriens, les Érythréens, les Irakiens et – s’il reste de la place – les Afghans débarquant sur nos côtes.
Dans ce rapport, Filippo Grandi (Haut-Commissaire des Nations unies) souligne le fait qu’« Einstein était lui-même un réfugié ».
 Ce qui nous montre, une fois de plus, que l’on essaie de mettre en relation les deux termes que sont « réfugié » et « migrant », pourtant très différents sur le plan juridique, au moyen d’une comparaison entre Einstein et des migrants qui, pour une partie, s’invitent dans des logements, prenant – illégalement – l’eau et l’électricité, installent des campements sauvages et n’hésitent pas à faire valoir leur mécontentement quant à l’insuffisance et à la qualité de la nourriture jugée « mauvaise ».
Le tout parfois de façon très violente.
 Un commentaire, Monsieur Grandi ?

Ensuite, Ángel Gurría (secrétaire général de l’OCDE) nous dit que les réfugiés « apportent de l’espoir, l’espoir d’une vie meilleure et d’un meilleur futur pour leurs enfants et les nôtres ».
Des hordes de migrants affluent en Europe – clandestinement – et cette invasion devrait être bénéfique ?

 Cet argument est trop facile à démonter, tant les contre-exemples sont nombreux : agression de plusieurs centaines de jeunes femmes à Cologne par des jeunes hommes d’origine étrangère ; agression d’une famille lors d’une manifestation des migrants à Calais…
 Ça vous parle, Monsieur Gurría ?

Puis il ajoute qu’« il ne faut pas faire d’amalgames à l’encontre d’individus qui ont plus à donner qu’ils n’ont à prendre ».
 Logements, nourriture – halal -, vêtements, études, transports, loisirs, le tout à moindres frais.
 Vous disiez ?
Ángel Gurría poursuit en indiquant que « ceux qui arrivent ont souvent un niveau de formation supérieur à la moyenne de leurs compatriotes ».

Pourquoi donc ces braves gens ne mettent-ils pas leurs compétences au profit de leur pays ?

Comment l’Europe va pouvoir leur donner du travail alors que le chômage atteint des sommets ?

Et quand bien même il y aurait des emplois, ne devraient-ils pas profiter, d’abord, aux Européens ?

Vous ne répondez rien ?

Pour conclure, il souligne que « l’Europe devrait intégrer au mieux ces réfugiés, en premier lieu pour ses propres intérêts ».

Des milliers de soldats potentiels de l’État islamique sur notre sol, la radicalisation islamique, le terrorisme, les morts…

C’est ça, nos intérêts ?

Il n’y a pas à dire, le réveil sera brutal.

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