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samedi 2 novembre 2013

Le samedi, c’est Néri !

par
     
 
Mon François !
 
Mon Flamby, Mon Culbuto, que dis-je, Ma Fraise des bois !
 
Les semaines égrainent des jours qui se suivent et se ressemblent.
Tu nous entraines lentement mais sûrement dans ta longue chute, tout en te répétant à chaque étage, comme pour te rassurer :
« Jusqu’ici ça va »

Te souviens-tu de ce poème de Paul Verlaine, Chanson d’automne ? Il te va bien…
Les sanglots longs
Des violons
De l’automne
Blessent mon cœur
D’une langueur
Monotone. 
Monotone, c’est exactement toi, un mélange de mou et de sonotone.


Tu ne fous pas grand chose et tu n’entends pas la France, pire que tout, quand elle descend dans la rue, comme en Bretagne tu te sauves en Slovaquie ! 
 
Honnêtement c’était urgent ce voyage ?
Il ne pouvait pas attendre Gasparovic pour te faire signer le livre d’or ?
 
Tu ne te serais pas pris pour de Gaulle à Baden-Baden par hasard ? 
C’est le bordel, Pépère, et tu laisses les commandes à l’autre ectoplasme, enfin les commandes… Surtout la marche arrière  ! 
« C’est pas nous c’est les autres ! »
Ils vont nous la servir jusqu’à quand la devise du socialisme innocent, les idiots du village qui t’entourent ?
 
Ça fait un an et demi que tu es en place et ça fait un an et demi que tu te prends gamelle sur gamelle !
Tu n’as aucune idée de ce qu’il faudrait faire, tu essaies vaguement de communiquer et là encore tu te plantes !
 

A ce sujet fais quelque chose pour Sérillon, tu le roues de coups et tu le fais rembourser !  
Non tu ne le frappes pas toi, tu laisses faire Mémère à coup de sac à main.
 
Tu vois ma Boulette, cette semaine, tu n’avais pas fini ton Goulasch, que tu annonçais que les otages étaient libres.
C’est bien comme nouvelle, il s’est enfin passé quelque chose, quatre Français libérés, ça ne peut que plaire au pays. 
Et bien non ! Tu as encore tout foiré ! 
 

Mise en scène dans l’à peu près sur le tarmac…
Tu n’as rien préparé et quand les 4 refusent de parler tu dodelines tel un culbuto moyen !
Et c’est sans compter les soupçons de rançon qui ont débarqué bien avant les otages…
Je continue avec Verlaine :
Tout suffocant
Et blême, quand
Sonne l’heure, 
Encore toi !
Je me souviens
Des jours anciens
Et je pleure 
Non ça c’est moi…

Sources photos : Délirius – Sipa – Agoravox

1 commentaire:

  1. Bongiorno tristessa, on se souvient des jours récents et on rage !

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